Le théologien N° 106, mis à jour le 9.8.2022
Le 15 avril 2019, Notre-Dame de Paris, la célèbre
cathédrale, a pris feu et a été partiellement détruite. Heureusement, il n'y a
pas eu de morts. En France et dans le monde entier, cet événement a suscité un
grand émoi, car il s'agit d'une attraction touristique très connue, attirant
jusqu'à 14 millions de visiteurs par an.
Lorsque l'on pense qu'il n'y a pas eu de morts, la réaction mondiale est
vraiment inhabituelle, en comparaison aux réactions qu'il y a normalement suite
à des catastrophes humanitaires ou des incendies beaucoup plus graves dont
certains ont coûté la vie à des centaines de personnes. Je pense en particulier
aux réactions des puissants et des riches qui en général, dans de tels cas,
restent plutôt discrets. Le président de la république
française a spontanément parlé de reconstruction par l'État, trois familles
de milliardaires français ont fait des dons qui s'élèvent au total à 500
millions d'euros, une somme énorme qui n'a jamais été donnée auparavant lors
d'opérations humanitaires. Dans certains pays, même les médias d'État lancent
des appels aux dons – pour un bâtiment, notons-le bien, pas pour soulager la
souffrance d'êtres humains ou pour sauver les centaines de milliers de personnes
qui meurent de faim dans le monde. Rappelons, par exemple, que 8500 enfants de
moins de cinq ans meurent de faim tous les jours, ce qui n'a jamais provoqué une
telle réaction, pas non plus de la part de l'Eglise.
Les
responsables de l'Eglise au Vatican parlent de choc et de tristesse et déclarent
que l'édifice
« est
un symbole du christianisme en France et dans le monde ». Cette phrase est
répétée dans de nombreux reportages, souvent couplée avec des expressions comme
« stupeur » ou « consternation » au sujet de la tragédie qui a frappé cette
« maison de Dieu », tel que cela est rapporté.
Il s'agit cependant, à deux égards, de déclarations erronées qui se répandent
dans le monde entier: tout d'abord, ce bâtiment n'a absolument rien à voir avec
Dieu, l'Eternel, mais est utilisée par la guilde des prêtres qui possède
elle-même un patrimoine immobilier lourd de plusieurs milliards d'euros. Et
deuxièmement, ni cet édifice ni ceux qui célèbrent leur culte dans ce bâtiment
ou dans des lieux de culte similaire, que ce soient des églises ou des
cathédrales, ne sont chrétiens.
La vérité est que Dieu, l'Eternel, n'habite pas dans des maisons construites par
les hommes. Les églises, les cathédrales, etc., ne sont pas des maisons de Dieu,
mais exactement le contraire, à savoir le symbole de cultes de prêtres qui
cherchent à faire croire aux gens qu'ils auraient fait taire Dieu, qu'ils
L’auraient enfermé dans des édifices pompeux et qu'ils auraient enfermé Son
fils, le Christ, dans un tabernacle où ils Le présentent à leurs fidèles selon
leurs propres conceptions.
Les cultes des prêtres et ceux qui leur sont soumis n'ont absolument rien à voir
avec Dieu, l'Eternel, l'Esprit libre, ni avec Jésus, le Christ. Les prêtres,
tout comme leurs cultes, leurs formules de prière, leurs rites, leurs
cérémonies, toutes leurs traditions et leur structure patriarcale sont des
reliques, des vestiges et des traditions tout droit sorties de coutumes païennes
antiques.
Les prêtres, les cultes et les religions ne sont en aucun cas chrétiens. Ils ne
font qu'abuser du nom du Christ de Dieu, le fils de Dieu ressuscité. Avec leurs
structures et conceptions sacerdotales tout droit issues du paganisme, des
édifices cultuels pompeux dans lesquels ils célèbrent leur pouvoir et leur
richesse à grand renfort de cérémonies et de rituels, ils veulent impressionner
gens.
En les menaçant par des mystères, par l'enfer et la damnation éternelle et par
un Dieu vengeur et coléreux, ils leur font peur du baptême jusqu’à leur lit de
mort, afin de les maintenir dans la servitude, enchaînés et sous leur
domination.
L’histoire de l'humanité prouve que depuis des milliers d'années, et jusqu'à
aujourd'hui, tous ceux qui ne se soumettent pas à eux –
en premier lieu les porteurs de la parole du royaume de Dieu, tous les prophètes
et les prophétesses de Dieu, tous les hommes et femmes justes – ont été
impitoyablement calomniés et persécutés par la guilde des prêtres qui, avec
l'aide du pouvoir étatique, tua des centaines de milliers de personnes.
En effet, la cathédrale Notre-Dame de Paris est depuis environ 850 ans un
symbole – un symbole pour tous ces méfaits et surtout pour les milliers d'années
pendant lesquelles Dieu et Son fils, le Christ, ont été bafoués. Au yeux de tous
les vrais amis du Christ ainsi que de tous ceux qui se sont affranchis de toute
religion, elle est devenue un symbole honteux représentant les crimes des
millénaires passés commis contre tous les vrais chrétiens qui ont été calomniés,
persécutés et assassinés dans le monde entier à l'instigation de l'Eglise
sacerdotale de Rome et qui ont ainsi
subi le même sort que les victimes de la branche luthérienne de l'Eglise
sacerdotale.
Est-ce
une coïncidence qu'en cette semaine sainte de Pâques, telle qu'elle est appelée,
ce symbole même des églises sacerdotales s'enflamme, un symbole qui représente
tout particulièrement la calomnie, la violence, l'inquisition, la torture, le
meurtre et le bûcher, tout cela en abusant du nom de Dieu et du Christ de Dieu ?
C’est justement lors de la semaine précédant Pâques que s'intensifie cette
infamie avec laquelle Dieu et Son fils sont bafoués dans les cathédrales de
l'Eglise de Rome. Chaque année, les mêmes rituels insupportables, tournant
autour du meurtre ignoble de Jésus de Nazareth torturé à mort sur la croix il y
a 2000 ans, ceci à l'instigation de la caste des prêtres qui aujourd'hui encore,
après 2000 ans, recloue tous les ans symboliquement sur la croix Son corps
maltraité et torturé qu'elle brandit comme un trophée. Car depuis 2000 ans, les
hommes d’église veulent qu’Il reste là, cloué à la croix, et qu’Il se taise.
Même s'ils doivent bien admettre eux-mêmes qu'Il est ressuscité.
A
Notre-Dame, cette comédie de mauvais goût connaît des escalades particulièrement
perverses et cruelles. Dans l'un des premiers reportages après l'incendie, il a
été rapporté que l'une des reliques les plus importantes de l'Eglise catholique
a été sauvée des flammes. Il s'agit de la couronne d'épines que Jésus-Christ
aurait « portée » à Sa crucifixion. Elle est considérée comme l'une des reliques
les plus précieuses qui étaient préservées dans cette cathédrale. D'autres
sources rapportent également que la lance « sainte », entre guillemets, qui a
perforé le cœur de Jésus de Nazareth et l'a achevé, ainsi qu'un clou et une
écharde de la croix, eux aussi « saints », entre guillemets, ont également été
sauvés.
Que se passe-t-il dans l'esprit des gens et des cléricaux qui tiennent
pour « saints » les plus atroces instruments de torture et de meurtre qui
soient, les reliques du meurtre le plus infâme de l'histoire de l’humanité ?
Même si aucune personne de bon sens ne croira en l'authenticité de telles
reliques, le fait que pour les prêtres, leurs trésors les plus importants –
qu'ils élèvent au rang d'objets sacrés – soient des instruments de torture
atroces utilisés par des prêtres du passé, montre qui ils servent et dit tout de
l'orientation cruelle et meurtrière de ces cultes.
Ce feu dévastateur a donc éclaté au cœur de ce conglomérat rassemblant
persécutions, cruauté et abus du nom de Dieu et de Son Fils, le Christ, et ceci,
juste avant son apogée annuelle qui a lieu lors de la Semaine Sainte, telle
qu’elle est appelée. Est-ce une coïncidence ?
Lorsqu'ils ne sont pas concernés, les prêtres parlent volontiers, dans de tels
cas, de punition de Dieu. Faire une telle déclaration serait également calomnier
Dieu. Dieu, l'Eternel, est un Dieu d'amour et de sagesse. Il ne punit pas. De
Dieu, qui est le Père bienveillant de tous Ses enfants, ne vient que du bien. Le
Dieu dont parlent les prêtres, le Dieu qui punirait et jugerait, n'est pas Dieu,
l'Eternel, le Créateur de l'univers. C'est le Dieu du culte des prêtres, le
démon des ténèbres, de l'enfer et de la damnation.
Ce qui se passe sur Terre n'est pas dû au hasard. Tout est le résultat d'une
cause engendrée. Et toutes les causes engendrées par l'être humain produisent un
jour ou l'autre des effets. Il s'agit là de la loi irrévocable des semailles et
des récoltes, également appelée la loi d’action-réaction. Quelles que soient les
causes créées, un jour ou l'autre la coupe est pleine et les effets se
manifestent.
L'incendie qui a eu lieu à Paris rappelle fortement le « mene tekel » à
Babylone, dont il est également question dans la Bible des Eglises. Cette
expression est utilisée jusqu'à aujourd'hui pour qualifier un événement arrivant
à une personne orgueilleuse qui commet des méfaits et à qui des signes clairs
avaient pourtant prédit les conséquences de ses mauvaises actions.
Lors d'une beuverie, le roi babylonien
Balthazar se moqua fortement de Dieu, l'Eternel. C'est alors qu'une main
fantomatique lui apparut et écrivit sur le mur un texte étrange qui commençait
par les mots « mene mene tekel ». Le prophète Daniel, qui était prisonnier à la
cour du roi de Babylone, interpréta ces paroles pour le roi en les traduisant
ainsi : « pesé et trouvé insuffisant » et il lui dit que pour cette raison son
royaume lui serait pris. Et en effet, au cours de cette même nuit, le roi
Balthazar
fut assassiné.
« Pesé et trouvé insuffisant », cela pourrait également être le « mene tekel »
qu'est l'incendie à Paris, le jugement de l'Eglise et de ceux qui ont été
impliqués dans des atrocités pendant des siècles, car l'édifice, comme le disent
les personnes qui soutiennent l'Eglise, est un symbole mondial.
En regardant l'histoire de ce bâtiment, on reconnaît clairement des parallèles
avec ce qui s'est passé à Babylone, lorsque le roi Balthazar bafoua Dieu
massivement. Cela commence déjà par la prétention des prêtres qui est de
qualifier de « maison de Dieu » l'un de leurs édifices pompeux. Et cela se
poursuit par tout ce qui a été fait par des prêtres dans ce bâtiment et autour
de celui-ci pendant 850 ans, sous une fausse étiquette et en abusant du nom du
Christ de Dieu.
La
cathédrale a été construite de 1163 à 1345. Le pape Josef Ratzinger, qui visita
Notre-Dame en 2008, a alors rappelé que la cathédrale Notre-Dame avait remplacé
une église plus ancienne devenue trop petite et qui, dit-il, était consacrée au
1er martyr Etienne.
Ces paroles témoignent de l'ampleur de l'orgueil et de l'arrogance du chef de
l'Église. Apparemment, il ne s'attend pas à ce qu'un seul de ses fidèles
obéissants voit clair dans ses paroles : chacun a pourtant la possibilité de
lire dans la bible que les prêtres ont martyrisé le prophète Étienne jusqu'à la
mort, parce que ce dernier leur a reproché leurs mensonges et leur a dit
ouvertement la vérité, tel que tous les prophètes de Dieu l'ont fait avant lui,
également Jésus de Nazareth. Étienne rappela aux prêtres ce que Dieu, l'Éternel,
avait déjà dit par l'intermédiaire du prophète de
Dieu Isaïe, je cite :
« Le Très-Haut n'habite pas dans ce qui est fabriqué par
des mains humaines, comme dit le prophète : Le ciel est mon trône, et la terre
mon marchepied. Quelle maison me construirez-vous, dit le Seigneur, quel sera le
lieu de mon repos ? N'est-ce pas ma main qui a fait tout cela ? »
Dans leurs propres écrits, tant chez le prophète de Dieu Isaïe que dans les
Actes des Apôtres, les prêtres peuvent lire noir sur blanc que Dieu, l'Éternel,
n'habite pas dans des maisons construites par les hommes. Il y est aussi
rapporté que Jésus de Nazareth enseigna également où se trouve Dieu, l'Eternel –
à savoir au plus profond de chaque être humain qui a une âme. En effet, on peut
trouver cette phrase dans les Bibles des Eglises :
« vous êtes le temple de Dieu »,
tel que Jésus de Nazareth l'a enseigné.
8 – Les cathédrales utilisées par l’Eglise pour démontrer à ses victimes sa suprématie
Il est
donc irréfutable que les églises ne sont pas des maisons de Dieu et les prêtres
eux-mêmes le savent très bien. De tels temples et bâtiments pompeux qui ont
toujours été construits aussi grands que possible, ont de tout temps servi,
comme nous l'avons dit auparavant, à intimider la population soumise aux
prêtres. L'historien français Georges Duby a décrit l'époque à laquelle a été
construite Notre-Dame comme l'époque des cathédrales et a constaté que
« l'art des cathédrales a peut-être été l'instrument le plus efficace de toute
l'histoire de la chrétienté pour opprimer l'hérésie, à savoir le catharisme ».
Il est à noter qu’en décrivant les choses de cette façon, Georges Duby reste en
fait dans la version officielle des oppresseurs, parce qu'en vérité il s'agit là
d'un instrument du catholicisme romain et les chrétiens, eux, étaient souvent
les opprimés.
Les cathédrales, donc, ces édifices de taille gigantesque pour l'époque et leur
richesse largement affichée, servaient à démontrer à leurs victimes la
suprématie de la caste des prêtres et à intimider ceux qui ne voulaient pas se
soumettre volontairement à eux.
9 – Eglises somptueuses bâties sur la souffrance et les larmes du peuple
Les croisades, l'inquisition et la chasse aux sorcières ne servirent pas seulement aux prêtres à éliminer la vérité, la Parole de Dieu, les porteurs de Sa parole et, avec eux, toutes les personnes qui s’efforçaient sincèrement de suivre Jésus, le Christ. Tous ces crimes contribuèrent également à l’enrichissement des grandes Eglises, car les maisons, les villes et les pays des victimes furent automatiquement pillés. Le butin était souvent partagé entre les Eglises et les puissants de l’époque. Ainsi, outre les palais des puissants, les gigantesques édifices comme Notre-Dame de Paris sont devenus les symboles des pillages et des meurtres commis par les Eglises ainsi que des génocides de populations entières, comme, par exemple, les Cathares. Ils sont aussi le symbole de l'extermination quasi totale de la population d'un continent tout entier et de son pillage, comme cela eut lieu après la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb. Et ils sont aujourd'hui encore le symbole du servage imposé aux pauvres pendant des siècles par l'Eglise et les riches, qui, aux dépens de la population, menèrent la grande vie et baignèrent dans le luxe et le faste. Tous les temples fastueux des prêtres, églises ou cathédrales, avec tous leurs trésors d'art et leurs effroyables reliques, sont bâties sur la souffrance et les larmes du peuple, qui bien souvent fut saigné à blanc par la caste des prêtres en collaboration avec les puissants.
Persécutions et assassinats en relation avec Notre-Dame
Ainsi,
la construction de la cathédrale Notre-Dame fut initiée par un cercle de
cléricaux également initiateurs de meurtres et de génocides, des meurtriers de
masse bien souvent canonisés par l'Eglise. La force motrice en fut le roi Louis
IX, dirigeant de 2 croisades, promu « saint » pour ses
nombreux meurtres au service de l'Eglise et qui, entre autres, combattit les
Cathares et instaura en France la juridiction de l'Inquisition. Il est
responsable du meurtre de 200 cathares qui, à l'instigation de l'Eglise, furent
brûlés sur le bûcher à Montségur le 16 mars 1244. Il fit également expulser les
Juifs et brûler leurs écrits.
En relation avec Notre-Dame et ses mécènes religieux et séculiers – les évêques
et les rois – un grand nombre de personnes furent persécutés et assassinés pour
la seule raison qu’elles déclaraient ouvertement suivre Jésus, le Christ et
refusaient de se soumettre au dieu de la cruauté des hommes d'Église. Outre les
Cathares, il y eut, par exemple, ceux qui se qualifiaient de « frères et sœurs
de l'Esprit libre », Amaury de Bène et ses compagnons de foi, Marguerite Porete
et les Béguines, mais aussi d'autres groupes qui n'étaient pas fidèles à
l'Église, comme les vaudois et les templiers, et plus tard, par exemple, les
Huguenots.
Notre-Dame peut donc être considérée à juste titre comme le symbole de ces
crimes du passé commis par l’Eglise, en l'occurrence catholique-romaine, sur des
centaines de milliers de personnes.
Ce mémorial du crime n'a rien à voir avec Dieu, l'Eternel, et Son Fils, le
Christ de Dieu, le Corégent du royaume de Dieu et le Rédempteur de toutes les
âmes et de tous les êtres humains dotés d’une âme.
Ce qui peut être prouvé en détail par l'histoire de la cathédrale incendiée est
sans équivoque et valable de façon générale : les religions et les cultes,
les prêtres, les pasteurs, les théologiens et autres administrateurs de
religions ne sont jamais chrétiens.
Celui
qui souhaite savoir de première main ce que le royaume de Dieu pense des
prêtres, des pasteurs, des théologiens voire des saints-pères, reçoit une
réponse de la part des êtres les plus élevés du royaume de Dieu. Jésus de
Nazareth, le Fils de Dieu, a toujours dit ouvertement la vérité et Il a répondu
clairement à cette question il y a 2000 ans. Aujourd'hui encore, on trouve des
fragments de réponses dans les écrits même de la caste des prêtres. On peut y
lire que Jésus de Nazareth qualifiait les prêtres d’hypocrites, de serpents et
d’engeances de vipères, de tombeaux blanchis à la chaux. De plus, Il expliqua de
façon on ne peut plus claire, je cite :
« Vous avez pour père le diable et vous voulez faire ce que votre père désire.
Il a été meurtrier dès le commencement. Il ne s'est jamais tenu dans la vérité
parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Quand il dit des mensonges, il parle de
la manière qui lui est naturelle, parce qu'il est menteur et père du mensonge. »
Dieu,
l'Eternel, n'a pas de secret pour Ses enfants humains. Il s'est révélé de tous
temps à travers Ses prophètes et le fait à nouveau à notre époque à travers Sa
prophétesse-instructrice et messagère, Gabriele, comme par exemple dans cette
révélation divine donnée au mois d'octobre 2018 et dont nous lisons ici quelques
phrases :
« Ma Parole, la
vérité éternelle, n’a jamais parlé le langage des théologiens utilisé dans les
églises et les cathédrales lors de cérémonies et rituels sacerdotaux.
Je suis l’Esprit libre et omniprésent, Dieu. Je ne me trouve pas dans les
maisons que les hommes ont construites soi-disant pour me faire honneur. Je suis
la loi omniprésente de l’existence éternelle et non le transfert : l’Etat et
l’Eglise.
Ma parole est la vérité qui s’ouvre aux personnes
qui cherchent et sont heureuses de recevoir de multiples façons la vérité que Je
suis.
La vérité éternelle est venue aux hommes à travers les prophètes et prophétesses
de Dieu ainsi que par des personnes qui étaient vraiment illuminées par Dieu
pour Ma Parole.
Jamais Je ne Me suis révélé à travers les prêtres, les pasteurs, les évêques et
les cardinaux, et encore moins à travers un Moloch menteur qui utilise Mon nom
comme titre, alors que Mon nom M’est exclusivement destiné – Moi qui suis pour
Mes enfants le Dieu Père-Mère dans les Cieux, le Je Suis dont témoignait Jésus
de Nazareth. »
12 – Apocalypse : les riches et les puissants de la Terre pleurent et se lamentent quand ils voient la fumée de son embrasement
Depuis
40 ans déjà, l'humanité reçoit à nouveau la Parole de Dieu par la bouche d'un
prophète. La vérité est révélée à tous ceux qui la cherchent. Les prêtres et les
religions la passent sous silence
et continuent à célébrer les rituels de leur dieu de vengeance.
A Notre-Dame de Paris, la raillerie de Dieu et le rite annuel qui célèbre
l’assassinat de son Fils, le Christ, par les prêtres à Pâques, sont stoppés pour
un certain temps.
L'Eglise et les puissants sont pressés d'effacer les traces de ce « mene
tekel », cet avertissement fatidique, et parlent de 5 ans. La reconstruction va
coûter des milliards, mais, comme à son habitude, l'Église a déjà annoncé
qu’elle ne déboursera à cet effet pas à un seul centime de sa richesse qui
s’élève à des milliards. En effet, l'Église, comme tous les cultes sacerdotaux,
n'a jamais donné. Elle a toujours pris. Comme d’habitude, l'État demandera aux
citoyens de passer à la caisse. Les ultra-riches payent au plus fort pour garder
leurs bonnes relations avec le clergé. Ils savent mieux que quiconque quel sort
est réservé à la prostituée Babylone ainsi qu’aux riches et aux puissants de ce
monde dans l'apocalypse de Jean. Ceux qui souhaitent le lire eux-mêmes,
trouveront ce texte dans les Bibles des prêtres, au chapitre 18 de l'Apocalypse.
On peut y lire les plaintes des marchands lorsque la prostituée Babylone tombe,
eux qui se sont enrichis du commerce fait avec elle. A propos des puissants, on
peut y lire également :
« Et tous les rois de la terre, qui se sont livrés avec elle à l'impudicité et
au luxe, pleureront et se lamenteront à cause d'elle, quand ils verront la fumée
de son embrasement. »
Il y a donc de multiples intérêts à supprimer le plus rapidement possible les
traces du « mene tekel », de l'avertissement.
13 – Les enfants abusés sexuellement par des prêtres catholiques sont les vrais temples de Dieu
Mais
nombre de citoyens vont être amenés à réfléchir et ne vont pas manquer de se
demander d’où pleuvent tout à coup tous ces milliards pour un mémorial de la
honte morale d'une église qui n'a jamais versé un centime de réparation à ses
centaines de milliers de victimes, pas non plus aux victimes des crimes sexuels
contre des enfants, pour lesquels le plus haut prélat français a été condamné il
y a peu de temps pour les avoir camouflés. Ces centaines de milliers d’enfants
abusés sexuellement par des prêtres catholiques sont les vrais temples de Dieu,
profanés par les hommes du Vatican qui ne pensent pas même à leur guérison ni à
la réparation de ces crimes.
A Notre-Dame, les prêtres vont devoir maintenant se contenter d’adorer
uniquement dans leur propre cercle leurs reliques considérées comme sacrées par
leur Eglise, la couronne d'épines et autres instruments de torture qu’ils sont
si fiers de posséder et d’avoir sauvés des flammes. Donc, pour l’instant, elles
ne pourront tout du moins plus être utilisées pour bafouer Dieu et Son Fils
ressuscité, le Christ, le Corégent du Royaume de Dieu et le Rédempteur de toutes
les âmes et de
tous les êtres humains dotés d’une âme.
|
Impressum
Datenschutz
E-Mail: info@theologe.de